ambivalence.

surname Farrow, l’Impératrice d’un mal profond, ancré à l’intérieur d’un palpitant qui saigne la souffrance. Le patronyme est lacéré par les souvenirs ensanglantés. Ces mirages qui reviennent au soir tombé, quand elle piétine le sol de ses pieds nus d’enfant souillée. Quand elle écrase les cigarettes qui se consument entre ses lippes écorchées. Ca craque si fort qu’elle en souffre la gosse, qu’elle en crie au fond de sa tête, ce mal-être intrépide qui suinte les tapisseries de son cerveau meurtri par la hargne.
first name elle a les joues creusées par le cynisme, les poussières d’étoiles qui n’existent plus dans ses opales noircies par l’aigreur des rancunes. C, la Colère entre les lettres, le S qui s’enfuit entre les dédales des jours malheureux. Elle a oublié la couleur-même de la lumière, cette blancheur pure entachée par le chaos d’une vie foutue en l’air. Cosme elle y répond, reine des abimes qu’elle a crée de ses mains et de son teint livide.
birth certificate 19 pétales d'une fleur entrain de crever, à noircir sa chair à chaque levé de soleil. Le trou noir du néant qui l'aspire, l'attire à chaque putain de journée qu'elle voit s'pointer. Et puis y'a sa main, à elle, qui la tire vers les uv cuisant, qui l'empêche de tomber, de s'ramasse avant l'heure. + date et lieu de naissance
heart rate Volage, sauvage. Fait l’amour au monde, ces draps de pêchés qui ont accueilli les peaux masculines et féminines qu’elle a pu effleurer. Elle les aime passionnés, passablement violents, les baisers corrompus sur sa peau de lait entaillée par les crimes. Elle les aime suaves, les aime silencieux, son détachement culotté de l’amour qu’elle transfère dans des orgasmes inventés. Et pendant qu’elle souffle le vrai plaisir, les jurons sont bloqués dans sa trachée pour avaler son propre sarcasme médisant lui susurrant qu’elle devrait arrêter d’exabuser de la luxure.
occupation Métier ou études
perimeter Quartier dans lequel votre personnage vit + type d'habitation

temper trap Cosme c’est une enfant de la nuit, elle a peut-être entraperçu le jour seulement quand elle est née. Les étoiles pour l’accueillir, la noirceur pour l’attendrir, et y’a comme ces nuages vaporeux qui recouvrent les ruelles crasseuses où magie plane encore. Une travestie de l’esprit, sera qui voudra qu’elle soit pour s’attirer les bénéfices et le pesant d’or. Une nuit qu’elle se dira vingt-cinq ans, une autre qu’elle se croira danseuse pour attirer le pêché d’autrui. Machiavel psychologique, c’est la furie qui manipule pour arriver. L’éternel jeu, un détachement inquiétant et incontrôlable qu’elle a envers les autres. Rien. C’est qu’elle ressent foutrement rien dans ses émotions, y’a comme la partie coeur de son cerveau détruit qui est hors-service. Qu’elle a même jamais essayé de réparer. Humain devient machine. Machine devient tueur. C’est qu’elle a pas froid aux yeux la gamine, derrière ses lunettes de soleil y’a ses yeux de chat qui scrutent la prochaine proie à exploiter. Ou peut-être même la prochaine proie à baiser pour se sentir vivre. Pour sentir ce haut le coeur qui lui rappelle que Machine est en fait humaine. Légèrement dévergondée, la cuisse se veut légère quand l’appât du gain lui murmure au creux de l’oreille. Instable et imprévisible, Cosme c’est qu’un félin qui tourne en cage trop longtemps opprimée, trop souvent oppressée. Ce côté chaotique effrayant, colérique qui détruit et tue sans pudeur tout ce qui l’entoure quand on gratte trop fort le tableau pour tenter de la percer à jour. Le jour putain, elle en a peur, elle a le mystère qui plane au-dessus d’elle comme si c’était une carapace, son système robotique d’auto-défense. Mais y’a ce brin, cette étincelle, cet ovni dont elle arrive pas à se détacher. Y’a ce côté bon qui somnole en elle, qui tente de se manifester comme une crise de bipolarité. Elle en deviendrait presque protectrice, presque attachante à réclamer malgré elle de l’amour. La poupée de cire sarcastique demanderait presque à se faire aimer, à se faire tirer du chaos dans lequel elle s’est enfoncée. Complexe qu’on dirait d’elle, un puzzle à la con qui demande qu’à se faire élucider pour se guérir.
random facts
Ses yeux d’chat sont tout le temps cachés derrière des lunettes de soleil dès que l’astre du jour balance ses uv, c’est devenu comme une habitude que de raser les murs comme si elle voulait disparaître. Et puis elle insulte silencieusement, presque sûre qu’elle est phobique de la lumière agressive. // Sarcastique combiné à cynique, Cosme elle entretient avec ferveur le rictus au coin des lèvres. Y’a pas de discussion sans remarque aiguisée, y’a pas de relation sans avoir lancé des couteaux suisses. Elle s’aime à piquer pour tester, elle s’aimer à repousser les limites d’autrui pour y chercher vulnérabilité. Et son aisance à mettre mal à l’aise est un rite qu’elle s’oblige à conserver, c’est presque de l’affection.  // L’enfant de la nuit a entraperçu le jour après son ainée, Nevaeh la fleur céleste qu’on abime pas, ses pétales à elle ne sont pas fanés. Il resplendissent si fort que ça l’éblouit Cosme, le Ying et le Yang qui se battent continuellement. C’est du déni à long terme, comme un secret qu’elle garde à son compte : sa soeur c’est la main tendue pour lui éviter de crever dans ce gouffre de haine sans fond, sans elle c’est comme une évidence que a faucheuse l’aurait déjà ramassé.
theme song  chanson ou citation représentation votre personnage