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| | In the Country of Last Things (ft. Judas)whatever happens, we are deathless | |
| | SujetIn the Country of Last Things (ft. Judas) #☾. posté le Lun 6 Mai - 7:58 |
| Sennar S. Toegaryou got two black eyes ★ image : pseudo : solomonsuaire
credits : AILAHOZ ; Celska
Faceclaim : Thomas Brodie-Sangster
Multifaces : Quetzal Nuì
Inscription : 15/12/2018
Messages : 461
true color : lightsteelblue
timelapse : 22 ans
heart rate : Sans attache
purpose : Officieusement, espion au service de Phenicia Toegar. Officiellement, archiviste au Tribunal de la Day Court.
magic scale : Niveau II
powerplay : La Bride, un vent violent en mesure de repousser, attirer ou lacérer une personne, dans ses expressions les plus désastreuses.
loyalty : En étrange pays dans son pays lui-même, perdu dans un palais de miroirs. Sa loyauté envers la Day Court est difficile à déchiffrer, tantôt désinvolte et fuyant, tantôt prêt à tous les sacrifices pour lui rendre hommage. Un exilé plus qu'un apatride.
object cards : 2
mystery cards : 1
Black Dimes : 1311
| | | | SujetRe: In the Country of Last Things (ft. Judas) #☾. posté le Mar 21 Mai - 15:32 |
| Judas Gatesyou got two black eyes ★ image : pseudo : horus.
credits : mittwoch (avatar), beylin (signa).
Faceclaim : ben barnes.
Multifaces : phœnix de luca.
Inscription : 24/04/2019
Messages : 174
true color : #ff0000 (red).
timelapse : trente-six piges Ψ visage buriné, traits tirés, il est marqué par les dures années passées. Carcasse usée jusqu'à la moelle qui ne laisse dans son sillage que des mégots de cigarettes durement troquées et des effluves de café bien trop corsé.
heart rate : célibataire Ψ solitaire endurci à la recherche de conquêtes pour réchauffer son lit et remplir ne serait-ce qu'une nuit ce vide dans sa poitrine. Veste qui empeste plus le stupre que le cuir tandis qu'il se noie dans ce néant béant, cette absence de sentiments.
purpose : mercenaire et troqueur occasionnel Ψ il est loin d'être regardant et loue ses services au plus offrant moyennant tout juste assez pour s'assurer une modeste pitance. Il refuse cependant de s'abaisser à servir un sorcier ne serait-ce que pour un salaire plus élevé et seule son activité parallèle au marché noir lui permet d'assumer le loyer.
gemstone : tourmaline noire (électricité/orage) Ψ capricieuse gemme qu'il rejette presque, lui, l'ennemi de la magie, esclave parti en croisade contre ces sorciers qu'il s'est juré d'annihiler. Pourtant, il comprend le réel potentiel de cette pierre, nécessaire moyen pour arriver à ses fins.
liability : serpent au sang froid Ψ séducteur manipulateur Ψ quête vengeresse contre la société sorcière Ψ mère rebelle tuée dans sa jeunesse Ψ père absent dont il ne connaît que le prénom (lien à pourvoir) Ψ cicatrice sur la paume droite apparue après s'être servie de sa gemme.
loyalty : déloyale loyauté bien souvent achetée, assurée par quelques tickets de rationnements qu'il a tôt fait de dilapider. Esprit libre sans famille, sans rien qui pourrait le retenir, il n'y a pas d'amis seulement ceux ne faisant pas partie du camp ennemi.
warning sign : Black Dimes : 1440
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in the country of last things sennar s. toegar & judas gates le 15 mai 2220 Les rues sombres et insalubres s’illuminent au crépuscule, se parant de couleurs vives qui fatiguent les rétines tandis que les néons grésillent. Dédale de ruelles alambiquées où errent d’illustres inconnus aux airs patibulaires et qu’il évite comme la peste alors que les bruissements de papiers et les cliquetis métalliques de sa marchandise retentissent, trouvant écho sur les murs des échoppes qui s’emplissent au fur et à mesure que le bleu du jour laisse place à l’obscur manteau nocturne. Le sac de toile frappe le dos vêtu d’une veste noire au rythme du pas vif et il peut presque sentir les coins des bouquins entassés lui entailler les reins. Étrange butin qu’il a trouvé au cours d’un règlement compte, là, abandonné, condamné à se laisser ensevelir sous la poussière d’une vieille étagère. Pas que le sort de quelques livres aux pages jaunies et qui empestent le moisi lui importent plus que de raison, ça non. C’est un homme de terrain, Judas, un enfant que la rue a englouti, détruit puis reconstruit. Tantôt mère tantôt amante, elle lui a appris mille ruses, préférant la rudesse de l’expérience à la douceur de l’insouciance. Ce qu’il sait, il l’a tiré de sa peau écorchée, de sa chair lacérée, de sa fierté piétinée qui n’a jamais cessé de le pousser à avancer, se surpasser et triompher. Non, ce ne sont pas quelques phrases écrites par cette humanité surpassée et annihilée qui lui ont enseigné ce qu’il fallait pour survivre à ce quartier, aux sorciers. Auteurs décédés depuis de longues années qui, du haut de leur époque dorée et oubliée ne pouvait décemment les préparer à ce qui allait arriver, à ce qu’ils devraient affronter et sacrifier au prix de la liberté. Les papilles baignées d’amertume, il s’immobilise devant le boui-boui et ne peut s’empêcher d’arquer un sourcil dubitatif face à la façade décrépie. The Country of Last Things. Petite boutique qui ne paye pas de mine mais que Cesaria lui a indiqué d’un geste sec de la main, pressée de se débarrasser du mercenaire et de sa maudite marchandise ne trouvant pas sa place au milieu de ses précieux artefacts. « Qu’est-ce que tu veux que j’foute de ton merdier d’lettré ? » qu’elle lui a balancé de sa voix éraillée d’avoir fumé comme un pompier avant de le presser d’aller voir ailleurs, dans un autre endroit où elle ne serait pas. Bien qu’il ait senti son sang bouillonner dans ses veines viciées, il s’est contenté de sourire Judas. Charismatique rictus étirant le coin de ses lèvres pleines mais n’atteignant par le regard semblable à deux orbes noires devenues aussi impénétrables que la glace. Fierté qu’il a cependant étouffée, ravalée alors qu’il a fini par s’éloigner sans insister. Au fond, il sait bien pourquoi Cesaria cherche toujours à se débarrasser de lui au plus vite, achetant toute sa marchandise en le poussant vers la sortie. Lui que la Faucheuse suit inlassablement, qui empeste la mort et les problèmes. Lui, le mercenaire dont la gemme est toujours exposée en pleine lumière. Les doigts fins s’enroulent autour de la poignée bien vite abaissée tandis que la porte s’ouvre pour le laisser entrer. Les semelles de ses chaussures couinent sur le parquet usé et délavé et il se retient de lever les yeux au ciel, tentant de conserver de sa superbe alors qu’il vaque entre les vieilles étagères où s'amoncellent tout un tas de d’objets divers et variés qu’il ne reconnaît que guère. « Il y a quelqu’un ? » qu’il lâche lentement, les syllabes roulant distinctement sur la langue experte. Rien. Rien si ce ne sont des sons étouffés qui lui parviennent du fond de la pièce, trouvant écho sur les bibelots d’une époque ancienne n’ayant jamais été sienne. C’est mû d’une curiosité mal placée qu’il se déplace silencieusement, atteignant la petite dépendance à laquelle il jette un coup d’œil scrutateur. A la vue de l’aiguille bien vite enfoncée dans la chair tendre du bras, la surprise passe sur les traits intrigués avant de s’estomper tandis qu’il exerce un discret mouvement de recul pour se détourner d’une scène qu’il n’a que trop contemplée pour en être réellement secoué. Les drogués se comptent par milliers dans ce quartier rongé par la criminalité, pauvres êtres ayant choisi la solution de facilité pour s’évader de la dure réalité. Il attend donc, adossé contre l’une des étagères couvertes de bouquins qu’il juge sans intérêt, attrapant une cigarette dans la poche de sa veste qu’il coince rapidement entre ses lèvres. Il ne prend cependant pas la peine de l’allumer, préférant savoir à qui il a affaire, criminel dont la prudence est mère de sûreté. Le vieillard qui s’extirpe du local adjacent est seul mais il ne s’attarde pas plus que cela sur l’absence du fournisseur dont il n’a pu entrevoir qu’une mèche blonde bien vite disparue de son champ de vision. Il ne faut à Judas qu’une poignée de minutes à coups de quelques œillades et d’un sourire jovial pour liquider sa marchandise pour quelques tickets qui lui permettront de se sustenter pour la fin du mois à venir. « Tu peux déposer les livres sur les étagères à l’arrière. » que lui indique le boutiquier en désignant la dépendance où il se trouvait quelques instants auparavant. Le mercenaire se contente d’un hochement de tête et lui laisse le soin de s’occuper du foutoir étalé sur la table avant d’attraper la pile d’ouvrages qu’il emporte sous son bras, se glissant dans le débarras. Là, il se fige sans un bruit face à l’étrange spectacle, épiant sans vergogne les intenses recherches de l’étranger dont le visage ne lui est pas familier. Étrange comportement qu’il décrypte de ses yeux perçants, notant la finesse de ses traits et la délicatesse de ses gestes. Attitude peut-être trop mondaine pour être assimilée à celle des indigents de Staten Island. C’est le froissement du cuir qui trahit son mouvement tandis qu’il pose négligemment la pile dans le premier espace vide à sa portée. Orbes sombres qui restent posées sur les écrits anciens dans une attitude presque indifférente. « Tu n’es pas d’ici, je me trompe ? Qu’est-ce que tu vends ? » qu’il demande d’une voix calme et suave, sa curiosité éveillée. S’il y a bien une chose que lui a appris son métier, c’est que tout le monde a un secret à cacher, un squelette à enterrer. Chaque individu sur cette planète est un client potentiel, en particulier ces vendeurs de bonheur éphémères. - PS:
Je suis vraiment désolée de l'attente C'est encore dur pour moi de rentrer dans Judas sachant que je sors d'une pause rpgique et que j'angoisse à moitié devant ma page mais ça se débloque généralement à la seconde réponse donc je tâcherai d'être plus efficace, PROMIS... Ensemble nous irons plutôt in the country of great things
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| | | SujetRe: In the Country of Last Things (ft. Judas) #☾. posté le Dim 26 Mai - 22:13 |
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loyalty : En étrange pays dans son pays lui-même, perdu dans un palais de miroirs. Sa loyauté envers la Day Court est difficile à déchiffrer, tantôt désinvolte et fuyant, tantôt prêt à tous les sacrifices pour lui rendre hommage. Un exilé plus qu'un apatride.
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| | | | SujetRe: In the Country of Last Things (ft. Judas) #☾. posté le Lun 10 Juin - 17:27 |
| Judas Gatesyou got two black eyes ★ image : pseudo : horus.
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heart rate : célibataire Ψ solitaire endurci à la recherche de conquêtes pour réchauffer son lit et remplir ne serait-ce qu'une nuit ce vide dans sa poitrine. Veste qui empeste plus le stupre que le cuir tandis qu'il se noie dans ce néant béant, cette absence de sentiments.
purpose : mercenaire et troqueur occasionnel Ψ il est loin d'être regardant et loue ses services au plus offrant moyennant tout juste assez pour s'assurer une modeste pitance. Il refuse cependant de s'abaisser à servir un sorcier ne serait-ce que pour un salaire plus élevé et seule son activité parallèle au marché noir lui permet d'assumer le loyer.
gemstone : tourmaline noire (électricité/orage) Ψ capricieuse gemme qu'il rejette presque, lui, l'ennemi de la magie, esclave parti en croisade contre ces sorciers qu'il s'est juré d'annihiler. Pourtant, il comprend le réel potentiel de cette pierre, nécessaire moyen pour arriver à ses fins.
liability : serpent au sang froid Ψ séducteur manipulateur Ψ quête vengeresse contre la société sorcière Ψ mère rebelle tuée dans sa jeunesse Ψ père absent dont il ne connaît que le prénom (lien à pourvoir) Ψ cicatrice sur la paume droite apparue après s'être servie de sa gemme.
loyalty : déloyale loyauté bien souvent achetée, assurée par quelques tickets de rationnements qu'il a tôt fait de dilapider. Esprit libre sans famille, sans rien qui pourrait le retenir, il n'y a pas d'amis seulement ceux ne faisant pas partie du camp ennemi.
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in the country of last things sennar s. toegar & judas gates le 15 mai 2220 Il n’a jamais été particulièrement mordu d’énigmes, phrases au sens tordu, biscornu qui éludent l’essentiel pour mieux vous perdre en conjectures. L’impatience comme cruelle compagne, il étouffe au creux de son étreinte, désireux d’obtenir satisfaction dès qu’il en fait le vœu, refusant de se contenter de réponses virevoltant autour de ses questions. Il aime la franchise obtenue par la verve habile, les mots criant de véracité tandis que lui n’est qu’hypocrisie. Jeune étranger qui semble le défier d’insister, qui reste planté là à le dévisager dans le calme le plus total. Si sa prise de parole l’a, de prime abord, interpelé, les signes de la surprise se sont bien vite effacés et le mystère qui l’entoure reste entier, pesante chape flottante qui l’empêche de distinguer clairement ce qui le dérange réellement. Persistante démangeaison sur laquelle il ne peut mettre le doigt alors que le regard se détourne pour se poser sur ce qu’il tient entre ses mains, là calé sous son bras, bouquins que lui n’estime pas. « Le milieu ? » répète-t-il en arquant un sourcil d’un air dubitatif avant de plisser les yeux, le coin de ses lèvres pleines se relevant légèrement. « Si tu veux parler d’être bouquiniste comme ce bon vieux marchand abîmé par la vie, non. Ça n’a jamais été l’un de mes rêves en tout cas… Disons qu’il m’arrive de rendre quelques services et il s’avère que je suis assez doué pour dégoter ce que d’autres seraient prêts à acheter. » Il observe diligemment le regard ambré qui s’égare sur les livres bien vite posés et se redresse avant d’appuyer son flanc contre l’étagère qui ne manque pas de grincer sous le traitement qui lui est infligé. « Tu vois, ça nous fait bien un point commun. Nous fournissons aux autres ce qu’ils désirent mais ne peuvent obtenir. » ajoute-t-il, légèrement taquin, ses doigts venant agripper le paquet de cigarettes caché dans l’une des poches de sa veste.
Il ne peut s’empêcher de remarquer l’intérêt que suscitent les ouvrages couverts de poussière chez le jeune homme alors que ses doigts adroits manipulent le carton corné pour en extirper un bâtonnet bien vite coincé entre ses lèvres. Il se défend pourtant de l’allumer, savourant simplement cet avant-goût de nicotine qui se répand sur sa langue, envahissant ses sens jusqu’à ce que tous ses muscles se détendent. Incommensurable pouvoir du tabac sur son organisme usé par les années passées à ingérer des cochonneries qui lui pourrissent la santé. « Je ne fais jamais les choses à moitié… » lâche-t-il dans un haussement d’épaules, détaché. « Ma trouvaille semble te plaire… ? » Question qui ressemble plus à une affirmation alors qu’il attrape la main tendue dans sa direction pour la serrer en s’attardant un instant sur la paume pâle, presque délicate. La peau est douce sous ses doigts rugueux et il tressaille au contact, lui jetant un regard perçant, un air indéchiffrable inscrit sur les traits de son visage. « Sol… C’est un prénom intéressant. Aucun rapport avec le soleil, je suppose ? » demande-t-il en inclinant la tête, inquisiteur. « Je suis Judas. » Sa poigne se relâche, geste mesuré, touché qu’il laisse filer presque à regret comme s’il pouvait lui révéler toute la vérité dissimulée. Il peut presque palper ce qui est dissimulé, ce qui se refuse à être exprimé, étranger indéchiffrable qu’il est incapable de situer entre amitié et animosité. A cette idée, un faible sourire étire ses lèvres et il se retint de lever les yeux au ciel parce qu’il n’a pas d’amis, Judas. Les individus qu’il juge dignes de son estime ne peuvent se compter que sur trois doigts d’une main, rare espèce qu’il ne côtoie pas sans une certaine distance, crainte de la souffrance causée par la perte d’êtres chers, par l’effroyable déception de la trahison, l’amertume de la déception. Non, il ne se lie pas, Judas et c’est bien plus simple comme cela.
« Où as-tu trouvé ça ? » Il relève la tête, abruptement tiré du cours de ses pensées pour tomber sur l’étranger agrippé à l’une des couvertures reliées comme si sa vie en dépendait. Un vulgaire objet de papier sur lequel est inscrit dans une écriture bleutée et à moitié effacée : NAZC.A. Il tente un instant de comprendre l’intérêt qu’un tel ouvrage peut susciter mais ne peut lui trouver une valeur particulière, titre difficilement prononçable et dont la signification ne lui dire guère plus. « Au cours d’une surprenante virée nocturne. » finit-il par répondre dans un haussement d’épaules, réprimant un rictus agacé au souvenir de cette nuit où il s’est quelque peu écharpé avec Darren, chez ce particulier. « Il t’intéresse ? Je peux t’en faire un bon prix. » Marché qu’il se hâte d’entamer alors qu’il se détache de l’étagère pour raffermir sa prise sur son sac, omettant de préciser que, ce livre, il l’a déjà cédé au boutiquier. Son bras se lève dans la direction du jeune homme alors que ses doigts se referment sur le livre que ce dernier tient toujours bien serré. Trésor qu’il lui arrache dans une lenteur démesurée sans jamais se départir de son sourire mielleux, machineries uniquement trahies par cette lueur qui danse au creux de ses prunelles aussi insondables que son âme. « Que dis-tu de ça… je te laisse emporter ce précieux ouvrage et tu m’offres le repas de ce soir. Bière comprise, cela va de soi. N’est-ce pas là un marché bien équitable ? » ajoute-t-il dans un clin d’œil dégoulinant de ce qui s’apparente à de bons sentiments. |
| | | SujetRe: In the Country of Last Things (ft. Judas) #☾. posté le Lun 10 Juin - 21:39 |
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loyalty : En étrange pays dans son pays lui-même, perdu dans un palais de miroirs. Sa loyauté envers la Day Court est difficile à déchiffrer, tantôt désinvolte et fuyant, tantôt prêt à tous les sacrifices pour lui rendre hommage. Un exilé plus qu'un apatride.
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