• The laws of New York

La loi 1947, adoptée par la Winter Court, donne à l'Automne la fonction de rendre la justice au nom de tous les Covens. Ainsi, l'Automne n'a pas seulement pour fonction de faire respecter l'ordre. Ce coven est aussi chargé de réparer les injustices qui résultent de tout manquement aux lois adoptées par les sorciers.

Le Justice est rendue par la Cour Suprême de New York qui se situe à Greenwich Village. Ni les covens ni les humains n'ont  le droit d'avoir leur propre justice. Ainsi, toutes les affaires, qu'elles concernent les sorciers ou les humains, sont réglées par ce tribunal.

Les sentences de la Cour Suprême sont irrévocables. Chez les sorciers, si la Justice ne se prononce qu'une fois, c'est parce qu'elle est exacte. Tirant la vérité de leurs rituels secrets, les sorciers de l'Automne sont capables de rendre une justice implacable et ne reviennent jamais sur leur décision.

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day court • Indomptable, si la Day Court a semblé courber l'échine devant l'Automne, c'est pour mieux dissimuler son projet. C'est dans un tribunal secret , dont seuls les sorciers initiés connaissent l'existence, que le Jour rend sa propre justice. Ici, on fait respecter les lois d'une manière bien plus ferme que ne le ferait l'Automne. Châtiments corporels, torture et peine de mort ne sont jamais exclus pour faire éclater la plus plaisante des vérités.

coven law • Malgré l'hégémonie de l'Autumn court sur la Justice, il n'est pas rare que certains covens considèrent que les sentences prononcées par le tribunal ne sont pas assez fermes. Il est encore moins rare que des expéditions s'organisent, à l'aide de sortilèges de morphisme ou de contrôle du temps pour récupérer les prisonniers incarcérés afin de leur ôter la vie.

bannissement • Lorsqu'un sorcier est arrêté par l'Automne, la police doit immédiatement en avertir le Suprême du coven auquel il appartient. Ce Suprême devra alors décider s'il veut, ou non, bannir le sorcier pour les faits dont il est accusé. S'il souhaite le bannir, le sorcier est déféré devant le Suprême et ne subit pas de procès. On considère en effet que la balance de la justice est équilibrée par le rituel de bannissement et que la victime est indemnisée par l'accomplissement de ce même rituel. S'il refuse de le bannir, le sorcier sera alors traduit devant la Justice de l'Automne. Il faut toutefois noter que le Suprême pourra revenir sur sa décision à tout moment du procès.