timelapse : Un 8 décembre. Vingt-trois hivers à subsister. Sept années à régner. A peine quelques mois à se sentir désiré. Suprême à contrecœur et orphelin avant l’heure. Incapable de se pardonner de ne pas avoir pu les sauver. Une vie entière, à brasser des regrets.
heart rate : Enamouré, il ronge son frein derrière des regards hautains, dans l’espoir sans doute vain que le jeu touche à sa fin. D’une succession de regards se voulant anodins, le brasier de l'automne a fini par le déposséder de tous ses moyens. Une obsession décuplée par l’interdit. Entre répulsion et addiction.
purpose : Suprême de la Winter Court, les doigts affectueusement entrelacés à ceux de sa moitié. Il a été sacré sous un déluge d'applaudissements amers à l’issu de son seizième anniversaire. Position à lourde responsabilité qui aurait tout pour être enviée sur le papier, mais dont la réalité en rebuterait plus de la moitié.
magic scale : Suprême de niveau 4. Cillian aime à croire que sa magie atteindra bientôt la virtuosité de celle de ses aïeux. Une maîtrise de la glace qui se veut chirurgicale et qui témoigne de ses nombreux sacrifices pour parvenir à un tel degré de maîtrise. Des efforts ne se comptant plus en heures, ni en années, mais découlant de l’investissement de toute une vie. Discipline et rigueur sont ses maîtres-mots. Pas une journée ne s’écoule sans que sa magie ne soit stimulée loin des regards indiscrets. Dans des endroits confinés, dédiées à l’étude même de ses nombreux sortilèges et sous la supervision concernée d’un sorcier qualifié.
powerplay : Sa glace, Cillian la maîtrise sous toutes ses formes. Elite de la société sorcière, il a eu accès à des grimoires renfermant des puissances oubliées. Bagages d’une autre ère, grâce auxquels il a vu son contrôle se préciser. Détenteur d’un savoir qui suit étroitement les conventions de son coven, il se voit notamment apte à solidifier de l’intérieur le corps d’un homme. A figer des articulations, pour mieux contraindre les insolents à baisser l‘échine devant une puissance qui dépasse leur entendement. Des magies coûteuses, qui ne se privent pas de consumer l’essence vitale de leur lanceur, conscient ou non, du prix à payer pour acquérir pareille grandeur.
loyalty : Sans peur, ni pleurs. Seulement animé par un besoin de préserver les siens, il se prête entier au rôle dans lequel on l’a placé afin de faire perdurer l'ascendant sorcier.
action cards : 1
Black Dimes : 695
WINTER COURT
✧
☾
SujetRe: [FB] Histoire bête à pleurer ( c i l l a n ) #☾.posté le Lun 11 Fév - 0:17
Van Frankenstein
you got two black eyes
★
image :
pseudo : impératrice neptune (lola).
credits : le vent du nord (av), moi, columbine, twenty one pilots (sign).
Faceclaim : ernstklmk
Multifaces : rip
Inscription : 09/12/2018
Messages : 660
true color : #ff6666
timelapse : vingt-trois années et la chair gravée de bien plus de temps. carcasse de vieillard.
heart rate : le coeur scindé en cinq, il arrive même à donner des miettes à d'autres. palpitant fragile qui se fracture et se donne à la volée.
purpose : savant fou, médecin étrange, inventeur, chimiste brillant, collectionneur, faiseur de miracles. monstre à trois jambes, dont une en fer et une coupée. à vous faire flipper.
liability : une jambe en moins remplacée par une prothèse rouillée, une canne tout aussi rouillée, un caddie rempli de babioles pour compléter le tableau. des phalanges abîmées ou noircies, la peau constellée de cicatrices, un sourire un peu déglingué et des murmures à voix basse -à qui veut l'entendre.
loyalty : l'humanité cinglante et défendue jusque dans l'âme, profondément amoureux de son espèce qu'il cherche à élever par tous les moyens, rêve des temps anciens où les siens écrasaient les sorciers. loyal jusqu'à la moelle. enfant de la rébellion. enfant parmi les enfants, de son propre carnage attaché. sa meute d'abord, la résistance humaine ensuite, évidence ancrée.
On était beaux, pourtant on accélérait sans freins. On s'aimait trop pour s'aimer bien. On était beaux, souvent, quand on souriait pour rien. On s'aimait trop pour s'aimer bien — @CILLIAN BEAUREGARD
Il se regarde dans le miroir. Le corps est presque trop maigre et les cernes, amies trop visibles qui semblent s'incruster jusque sous la peau, s'étirent sur des traits trop jeunes et pourtant déjà trop marqués. Le gosse grimace et touche du bout des doigts les bouts de rouilles qui gangrènent les coins de l'objet comme il a l'impression que la rouille prend place dans son esprit aussi, lion en cage, celle pas assez dorée, celle qu'on trimbale d'année en année sans faire attention à l'oiseau en train de crever à l'intérieur, enserré dans une vie sans but et sans orgueil. Poppy n'est pas là, le lit sommaire est vide à côté du sien, défait, champ de bataille des nuits sans rêves et bien souvent sans sommeil. Il étouffe. Il chavire à peine arrivé, enfant largué dans un monde trop amer et trop inhospitalier, des mois à courber l'échine et déjà persuadé d'une graine de révolte dans les veines, on ne fait pas subir ça à un môme d'à peine une quinzaine d'années. Sous ses mains frêles, les veines de ses bras, saillantes et bleuies par le travail, qu'il voudrait ouvrir pour en comprendre les composants vermeil, l'envie des vaisseaux sanguins épinglés au mur comme un tableau, les chemins différents du corps bien trop mystérieux pour un esprit bien trop curieux. Il est sorti de ses rêveries par une voix autoritaire appelant son prénom. « VICTOR ! DESCENDS ! » Un soupir, il réajuste ses habits trop propres aux allures d'uniforme. Le dos droit mais le regard bas. Il entame la cadence militaire.
Leurs yeux papillonnent et il passe une main tendresse dans les boucles folles de sa camarade de fortune. Ils ne sont que jouets aux mains de ceux qui les possèdent et Van, au contraire d'elle, ne semble pas s'y habituer. Discours de doutes et de révolution bien cachés, tout de suite tus par une camarade qui ne veut pas en entendre parler. Elle restera, elle, pour la fête qui se prépare, son don apprécié des invités et de tous ceux qui côtoient les Nabashima. Contrairement à lui, renié. On a juste sommé à Van de tout briquer, flambant neuf, avant de le congédier et de lui dire de se faire tout petit, alors il a hoché la tête, préférant rester cloîtré dans une pièce loin de tout plutôt que de sourire à la volée pour des sorciers qu'il méprise déjà envers des invités suintant le faux et le mépris. Il paraît que les Nabashima ne sont même pas les pires d'entre eux. Presque cléments envers lui, les filles cadettes qui se sont liées bien malgré elles à sa pauvre condition humaine. Lui est persuadé qu'il n'est pas fait pour ce monde et gronde en lui l'impression qu'il n'est pas mieux considéré qu'un objet, vaste bijou même pas beau à montrer, tout juste utile à tout faire. Homme de main, femme de ménage, sac à main, porteur ou soldat. Il endosse tous les rôles.
Les bruits sont étouffés et la plupart des portes closes. Personne ne sait que lors de son temps libre ou de ses nuits d'insomnie, Victor se déguise en ombre et se faufile dans les pièces interdites, glissant ses mains fouineuses sur les reliures des ouvrages interdits, passe des heures entières à dévorer les ouvrages jusqu'à ce que ses yeux en piquent, agrémentant le dessous de ses yeux d'une teinte violacée. Mais les parents ont parfois entendu des bruits, des grincements de portes, ont élevé des soupçons, ont fait faire des clés. Van enrage quand il se retrouve devant un manque de connaissance, lui qui ne vit que pour rester éveillé en se nourrissant de mots. Porte après porte il serre les dents, se déplaçant sur la pointe des pieds malgré les bruits trop forts de l'étage du dessous, avant de tomber sur un loquet se mouvant sous ses doigts. Un bureau, des livres, et un sourire de gosse le jour de sa fête. Il prend un livre au hasard et s'assoit dans l'épais fauteuil prostré dans un coin de la pièce.
Quand la porte s'ouvre, il sursaute et le cœur bondit hors de la cage thoracique. Levé dans la panique, les yeux fuyants et prêt à inventer un mensonge, rythme cardiaque qui se calme lorsqu'il tombe sur un adolescent de son âge, qui referme la porte derrière lui. Victor se rassoit dans le silence, soulagé. Il ne le connaît pas. Il n'a donc rien à craindre. Et il est très bon menteur, même s'il gardera son prénom, ne serait-ce que pour l'entendre le prononcer, avec dédain ou curiosité. La commissure de ses lèvres s'agrémente d'un sourire en coin et il l'observe de haut en bas, ses habits aux allures trop chères et son air glacial, à donner des frissons le long de l'échine. Pourtant il y a dans ses yeux quelque chose qui hurle, à deux doigts de lui serrer le bide. Il hausse les épaules. « Parce que tu connais tout le monde ici ? » Méfiance dressée comme un mur entre les deux, Van aux allures d'inconnu prêt à s'inventer une toute nouvelle existence, un autre Victor, un de ceux qui aurait pu voir ses mains se mouvoir sous le poids des pouvoirs, un autre lui, un sorcier. Le livre fermé rencontre le bois lisse de la table basse. Il scrute. « Victor. Je préfère la musique lorsqu'on l'entend de loin. Un peu comme je préfère les gens. » Le regard intercepte le sien, qui virevolte sur les livres comme le ferait le sien. Deux rates de bibliothèque coincés dans une danse sans fin, tentant de s'échapper de la valse. « Et toi, qu'est-ce que tu fuis ? »
SujetRe: [FB] Histoire bête à pleurer ( c i l l a n ) #☾.posté le Mer 13 Fév - 10:03
timelapse : Un 8 décembre. Vingt-trois hivers à subsister. Sept années à régner. A peine quelques mois à se sentir désiré. Suprême à contrecœur et orphelin avant l’heure. Incapable de se pardonner de ne pas avoir pu les sauver. Une vie entière, à brasser des regrets.
heart rate : Enamouré, il ronge son frein derrière des regards hautains, dans l’espoir sans doute vain que le jeu touche à sa fin. D’une succession de regards se voulant anodins, le brasier de l'automne a fini par le déposséder de tous ses moyens. Une obsession décuplée par l’interdit. Entre répulsion et addiction.
purpose : Suprême de la Winter Court, les doigts affectueusement entrelacés à ceux de sa moitié. Il a été sacré sous un déluge d'applaudissements amers à l’issu de son seizième anniversaire. Position à lourde responsabilité qui aurait tout pour être enviée sur le papier, mais dont la réalité en rebuterait plus de la moitié.
magic scale : Suprême de niveau 4. Cillian aime à croire que sa magie atteindra bientôt la virtuosité de celle de ses aïeux. Une maîtrise de la glace qui se veut chirurgicale et qui témoigne de ses nombreux sacrifices pour parvenir à un tel degré de maîtrise. Des efforts ne se comptant plus en heures, ni en années, mais découlant de l’investissement de toute une vie. Discipline et rigueur sont ses maîtres-mots. Pas une journée ne s’écoule sans que sa magie ne soit stimulée loin des regards indiscrets. Dans des endroits confinés, dédiées à l’étude même de ses nombreux sortilèges et sous la supervision concernée d’un sorcier qualifié.
powerplay : Sa glace, Cillian la maîtrise sous toutes ses formes. Elite de la société sorcière, il a eu accès à des grimoires renfermant des puissances oubliées. Bagages d’une autre ère, grâce auxquels il a vu son contrôle se préciser. Détenteur d’un savoir qui suit étroitement les conventions de son coven, il se voit notamment apte à solidifier de l’intérieur le corps d’un homme. A figer des articulations, pour mieux contraindre les insolents à baisser l‘échine devant une puissance qui dépasse leur entendement. Des magies coûteuses, qui ne se privent pas de consumer l’essence vitale de leur lanceur, conscient ou non, du prix à payer pour acquérir pareille grandeur.
loyalty : Sans peur, ni pleurs. Seulement animé par un besoin de préserver les siens, il se prête entier au rôle dans lequel on l’a placé afin de faire perdurer l'ascendant sorcier.
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SujetRe: [FB] Histoire bête à pleurer ( c i l l a n ) #☾.posté le Mer 13 Fév - 10:32
Van Frankenstein
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pseudo : impératrice neptune (lola).
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timelapse : vingt-trois années et la chair gravée de bien plus de temps. carcasse de vieillard.
heart rate : le coeur scindé en cinq, il arrive même à donner des miettes à d'autres. palpitant fragile qui se fracture et se donne à la volée.
purpose : savant fou, médecin étrange, inventeur, chimiste brillant, collectionneur, faiseur de miracles. monstre à trois jambes, dont une en fer et une coupée. à vous faire flipper.
liability : une jambe en moins remplacée par une prothèse rouillée, une canne tout aussi rouillée, un caddie rempli de babioles pour compléter le tableau. des phalanges abîmées ou noircies, la peau constellée de cicatrices, un sourire un peu déglingué et des murmures à voix basse -à qui veut l'entendre.
loyalty : l'humanité cinglante et défendue jusque dans l'âme, profondément amoureux de son espèce qu'il cherche à élever par tous les moyens, rêve des temps anciens où les siens écrasaient les sorciers. loyal jusqu'à la moelle. enfant de la rébellion. enfant parmi les enfants, de son propre carnage attaché. sa meute d'abord, la résistance humaine ensuite, évidence ancrée.
On était beaux, pourtant on accélérait sans freins. On s'aimait trop pour s'aimer bien. On était beaux, souvent, quand on souriait pour rien. On s'aimait trop pour s'aimer bien — @CILLIAN BEAUREGARD
Un haussement de sourcil, le rictus à peine retenu, balafré sur des lèvres trop avides de moqueries. Preuve qu’au moins sa condition de moins-que-rien n’est pas perceptible et ne lui fera pas défaut, il pourrait s’enliser dans l’ennui mais Van décide d’attaquer frontalement, sans artifices. « On a pas tous la chance d’être nés sous une bonne étoile. » Et lui encore moins, déchet humain. S’il savait, il ne s’excuserait sans doute pas, le port altier de sa tête et la droiture de sa posture ne trahissent pas, c’est comme si le sorcier puait l’or à peine un pied posé dans la pièce. Pas les fausses dorures qu’il retrouve parfois au poignet des invités qui lui accordent à peine un regard, dépensant maigre monnaie dans les filles de joie et les jeux d’argent. Non, lui, c’est un diamant caché derrière une sacrée tonne de roche, éclat glacial à vous provoquer des frissons le long de l’échine. « Et toi, laisse-moi deviner. » c’est d’un pas leste qu’il se lève et se rapproche, une main qui vient doucement se poser dans le creux de son cou. La paume contre la carotide, là où on sent le cœur battre, où palpite le sang –et il est bien placé pour reconnaître que le sien est un peu trop rapide, sourire sincère. Mais c’est plutôt le froid de l’épiderme qui confirme ses doutes. « L’Hiver... » Deux grands yeux bleu pâle et les traits acérés comme des icebergs. On lui a parlé plusieurs fois des sorciers au sang de glace, fascination non dissimulée, pour lui qui ne connait que si peu d’histoires sur eux. Admiration, presque. Ses doigts s’amusent à passer sur sa joue rougie par la honte de son mépris, sorcier encore enfant, du mal à dépasser le mur de froideur. « Quoique. » Pas si froid que tu en as l’air. La main retombe le long de son flanc et Van s’éloigne de quelques pas. Pas par peur, sans doute dans l’esprit d’occuper l’espace comme s’il était le sien, retrouvant sa place parmi l’étoffe du fauteuil, relevant ses yeux vers l’autre, planté au milieu de la pièce. « J’te pardonne. Je suis pas contre l’idée que tu restes, mais il va me falloir ton prénom. Peut-être que tout le monde te connaît mais pas moi, grand seigneur. » Les derniers mots ont plus l’air d’une inquisition que d’une moquerie, trahis par le ton de l’amusement. Il n’a aucune idée de l’éducation qu’on pourrait percevoir en étant quelqu’un de son rang, lui habitué à la crasse la boue et la solitude. La grandeur et la fierté il les trouve dans la satisfaction du travail bien fait et dans la connaissance. Pas dans le respect d’un quelconque héritage forgé dans le dédain de ses semblables. Sans plus de cérémonie, il rouvre son livre et cherche la page où il s’était arrêté, perdue dans la panique. Yeux levés à nouveau comme une question, anodine d’enfant. « A moins que je t’horripile, alors je t’autorise à fuir. »
SujetRe: [FB] Histoire bête à pleurer ( c i l l a n ) #☾.posté le Dim 3 Mar - 23:47
timelapse : Un 8 décembre. Vingt-trois hivers à subsister. Sept années à régner. A peine quelques mois à se sentir désiré. Suprême à contrecœur et orphelin avant l’heure. Incapable de se pardonner de ne pas avoir pu les sauver. Une vie entière, à brasser des regrets.
heart rate : Enamouré, il ronge son frein derrière des regards hautains, dans l’espoir sans doute vain que le jeu touche à sa fin. D’une succession de regards se voulant anodins, le brasier de l'automne a fini par le déposséder de tous ses moyens. Une obsession décuplée par l’interdit. Entre répulsion et addiction.
purpose : Suprême de la Winter Court, les doigts affectueusement entrelacés à ceux de sa moitié. Il a été sacré sous un déluge d'applaudissements amers à l’issu de son seizième anniversaire. Position à lourde responsabilité qui aurait tout pour être enviée sur le papier, mais dont la réalité en rebuterait plus de la moitié.
magic scale : Suprême de niveau 4. Cillian aime à croire que sa magie atteindra bientôt la virtuosité de celle de ses aïeux. Une maîtrise de la glace qui se veut chirurgicale et qui témoigne de ses nombreux sacrifices pour parvenir à un tel degré de maîtrise. Des efforts ne se comptant plus en heures, ni en années, mais découlant de l’investissement de toute une vie. Discipline et rigueur sont ses maîtres-mots. Pas une journée ne s’écoule sans que sa magie ne soit stimulée loin des regards indiscrets. Dans des endroits confinés, dédiées à l’étude même de ses nombreux sortilèges et sous la supervision concernée d’un sorcier qualifié.
powerplay : Sa glace, Cillian la maîtrise sous toutes ses formes. Elite de la société sorcière, il a eu accès à des grimoires renfermant des puissances oubliées. Bagages d’une autre ère, grâce auxquels il a vu son contrôle se préciser. Détenteur d’un savoir qui suit étroitement les conventions de son coven, il se voit notamment apte à solidifier de l’intérieur le corps d’un homme. A figer des articulations, pour mieux contraindre les insolents à baisser l‘échine devant une puissance qui dépasse leur entendement. Des magies coûteuses, qui ne se privent pas de consumer l’essence vitale de leur lanceur, conscient ou non, du prix à payer pour acquérir pareille grandeur.
loyalty : Sans peur, ni pleurs. Seulement animé par un besoin de préserver les siens, il se prête entier au rôle dans lequel on l’a placé afin de faire perdurer l'ascendant sorcier.
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SujetRe: [FB] Histoire bête à pleurer ( c i l l a n ) #☾.posté le
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