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 Houston, we have a problem - ft. Balthazar.

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MessageSujetHouston, we have a problem - ft. Balthazar.      #☾.      posté le Jeu 14 Fév - 23:43
Kaseem Ben-Ashraf
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Kaseem Ben-Ashraf
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purpose : CHEF DES ÉCLAIREURS, le corps court au travers de ville, s'envole avec des ailes lourdes. HOMME DE MAIN, l'humain appartient au sorcier, les mots de Mazen prennent parfois la forcme d'ordres précis. MAGIC PERSON, parce que le monde est trop sombre, parce que les mains agiles se doivent de faire sourire ceux qui sentent leur espoir disparaitre.
loyalty : REBELLION, envers et contre tout, parce que le monde ne peut continuer d'être ainsi, parce qu'il se doit de devenir meilleur. Ce ne sont pas les sorciers que l'on hait, mais bien ces court aux meurs ridicules ; celles que l'on désire voir disparaitre plus que tout.
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Houston
we have a problem
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balthazar & kaseem


09 february
afternoon
Oh, il court, Kaseem. Il court parce qu’il sait bien que ça vaut le détour. Il court parce que c’est le genre de petites choses qu’il savoure. Il court avec une aise qui est une évidence, lui pour qui la fuite est devenue une danse. C’est parce que ça fait des années qu’il court sans même avoir à y penser, des années qu’il n’est jamais sombré. Il se permet de s’en vanter, surtout envers ceux qui prennent le temps de l’écouter. Alors se voila qui vagabonde au sommet d’un monde qui l’inonde d’une chaleur qu’il apprécie tant. C’est pas qu’il est du genre chiant à causer de ses talents, mais il n’est pas rare d’entendre certains dire qu’il joue avec un destin qu’il ne pourra jamais prendre en main. Mais le karma l’aime bien, ça il en est certain, alors il continue de courir sans jamais oublier de sourire. Un petit débile indélébile qui arpente les coins d’un monde a la douleur apparente. La vie est dure, ça il en est sûr, mais rien ne l’empêchera d’apprécier les simples choses, comme une barre de chocolat.

La nuit a été passée loin de ces contrés au sein desquelles il se sent si bien, dans les rues ardentes que Mazen ne peut que trouver charmantes. Plus jeune, il y a trouvé une beauté qu’il n’a pu ignorer, une sorte de magie qu’il n’a jamais connu chez lui. Mais la perfection s’estompe vite lorsque le regard trouve une œuvre qui s’effrite. Souvenirs lointains d’un désir douloureux qui a manqué de le pousser dans un mirage de satin. Il y a de ces choses dont il n’est pas fier, Kaseem, ces choses qui le laisse éclater la poussière. C’est un mec bien, et il y met franchement du sien, mais personne n’est parfait et le temps n’est pas à construire son portrait. L’image délicate d’un gamin qui épate, pauvre débile qu’on pense inutile, qui continue de surprendre ceux qui osent lui rendre la vie difficile. Alors il continue de courir, par peur de mourir, de devenir un de ces hommes qui, en somme, ne sont que des images ensanglantées qu’il tente d’oublier. Un pas après l’autre sans jamais regarder en arrière, à se contenter d’être un bon gars. Ainsi est sa vie.

Un pas après l’autre.
Manquerait plus qu’il se vautre.
Shit.

« Fuck! » Il n’y croit pas. Putain. La chute fait mal. Elle fait mal parce qu’il ne s’y attend pas. Elle commence comme tant d’autres, un morceau de toit décrépis qui lâche. Sauf qu’Herbet, au lieu de ranger son toit comme tout le monde y a laissé un bordel monstre. Alors Kaseem se le prend en pleine gueule, s’y écrase comme un poids mort. Mais ce n’est pas l’impacte lui-même qui le pousse à retenir un hurlement de douleur. C’est le morceau de métal qui s’est enfoncé dans le creux de son épaule qui fait qu’il ne peut se relever. C’est le métal rouillé qui fait que la Delphi qui a laissé son esprit dans un brouillard qu’il apprécie tant quitte son système presque instantanément. Il ne reste que la douleur. La blessure ne durera pas, il le sait bien pour s’en être pris la blinde un nombre incalculable de fois. Mais là, en ce milieu d’après-midi orageux, sur ce toit bordélique, il se sait incapable de descendre. Ou du moins, pas seul.

Un long moment durant, il reste allongé, à calmer sa respiration, à lâcher sa plaie le temps d’essayer de trouver plus de drogues qui, peut-être, parviendront à calmer sa douce agonie. Rentrant tout juste de Greenwich, ses poches sont vides. « Abusé putain… » Alors qu’il se prend à perdre espoir, une voix résonne non loin qui le pousse à se redresser soudainement. Les mots se perdent, deviennent de plus en plus clair alors qu’il s’approche du bord, alors qu’il laisse sa tête se pointer du haut de ce qui est devenu, le temps d’un moment, sa prison. La, en bas, il reconnait la silhouette de Balthazar, le petit du printemps qui a de l’optimisme à revendre et du courage a acheter. Déjà, deux gars le surpassent, mains tendues, clairement a la recherche de ces tickets que l’enfant se trimbale sans peur. « ARNOLD ! » La voix de l’orphelin résonne. « Arrête de faire chier le gosse sinan j’te balance à ta meuf ! » « T’oserais pas Ben-Bouffon. » « Azy cherche moi ptit con on verra ! » Son bras libre s’agite dans les airs tel un vieux ronchon, incitant les humains à s’éloigner dans des grognements fatigués. « J’vois que mon idée de lion de garde t’as pas plus ? Ça sert à quoi de faire un avec la nature si elle se fout de toi ? » Il réajuste son corps afin de mieux voir le sorcier de sa hauteur, cognant par la même occasion la barre qui continue d’occuper son corps. « Putain… oublie ça. » Une grimace déchire son visage un instant. « Tu veux pas v’nir évaluer la merde dans laquelle j’me suis foutu ? » Il sait bien que si quelqu’un est capable de venir le pécher tout en soignant un minimum sa connerie, c’est le petit Balthazar. Enfin, il l’espère parce que putain il a mal.
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MessageSujetRe: Houston, we have a problem - ft. Balthazar.      #☾.      posté le Mer 27 Mar - 11:50
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houston, we have a problem
kazeem + balthazar
ever had a feeling that you can't go on, trying to be strong but getting weaker, carrying the weight of every single day - have you lost your way, feeling defeated. sat staring, counting spiral patterns on the wall, you wonder if your luck is ever gonna turn around at all. you need a little light to guide the way, waiting on the sun to shine again. you got to keep your head up high, you got to keep your head up high. you need a little hope to carry on, in the middle of the night when you're all alone. ou got to keep your head up high, you got to keep your head up high
En face de lui, les deux gorilles et les embrouilles qui commencent à sérieusement se faire sentir. Il est naïf, Balthazar, mais il suffirait d’un rien d’esprit pour se rendre compte qu’il détient un bien et que des personnes en veulent, si bien qu’au final même le chat à ses pieds a senti le coup venir pour feuler honteusement contre n’importe qui pendant la ronde du Printemps, dans l’attente du pire. Ce sont les coups de pied qui lui font mal à lui aussi, sans entacher son pelage nacré mais c’est tout comme alors qu’il est dans la tête de son sorcier, comme si les deux n’avaient toujours fait qu’un – sauf que lui est définitivement moins gai et sympathique que son apparent maître, lui soufflant son dernier sursaut de méfiance. Les mains brutales qui commencent déjà à se frayer un chemin dans ses poches et son sac qui commence à se faire arracher, l’adolescent qui tente de comprendre ce qu’il se passe, ce n’est pas que la situation lui est inconnue, c’est qu’il a déjà donné mille arguments et qu’il se demande lesquels leur feraient entendre raison. « Il y a la date, maintenant, parce que trop de tickets ont disparu, donc ça ne sert à rien d’en prendre plein, vous n’aurez quand même que deux rations chacun et après les autres tickets seront nuls », il tente, dans l’espoir que cette fois-ci celui-ci fonctionne, les tickets étant effectivement désormais tamponné avec une date d’expiration, même si l’acte avait pu briser le cœur des Printemps distributaires, le plus jeune d’entre eux dans un premier temps, son inquiétude que les personnes les moins aptes à se déplacer quotidiennement se retrouvent à s’affamer sans rien, si le don devenait individuel, et sa volonté de s’y rendre lui-même par solidarité – c’est qu’il connaissait bien quelques sourds qui ne seraient jamais venus quotidiennement se confronter aux entendants, pour lesquels l’acte n’était rien de plus qu’une expédition périlleuse, et son regret de ne pas être au centre communautaire à temps pour les retrouver. Les propos qui semblent énerver celui qui les entend, en attendant, l’enfant sorcier qui ne sait pas où il a pu pécher dans ce qu’il a tenté d’expliquer, qui tente de se concentrer pour écouter. « Espèce d’imbécile, ça se revend, des tickets, on ne les prend pas pour notre consommation individuelle », avant de se retourner sur son comparse pour témoigner « je sais que d’habitude ils sont cons, mais là c’est toujours un sacré numéro ». Le chiite qui fronce les yeux en entendant de telles paroles, tente avec encore plus de vaillance de repousser les pattes des agresseurs, et qui finit par s’en prendre une dans la joue, pour la forme. « Commence pas à gigoter parce que ton chat je le trempe dans l’eau bouillante », il indique, l’index ferme comme on tenterait d’éduquer un petit animal, lui ses yeux noirs qui se rembrunissent encore plus. C’est ridicule, en soi, en plus d’être méchant, et le lionceau ne met pas longtemps à trouver le courage de l’articuler – la fiabilité des mots traîtres en moins, comme à son habitude. « Mais ce sont des humains, pourquoi vous voulez leur revendre, ils n’ont pas de monnaie ? », et le soupir des deux plus vieux en réponse, presque une symbiose tristement comique, « justement parce que tu as beaucoup plus à offrir quand tu n’as déjà plus rien à échanger », la phrase qui perd complètement le secouriste, qui décide que les mathématiques feraient bien d’être au programme des cours clandestins, parce que l’équation ne fait en elle-même aucun sens, et qui ne capte rien non plus de la poésie derrière.

Puis il y a Kazeem qui sort de nulle part, pour le coup littéralement, débarque et menace avec son bagout habituel, lui qui maîtrise les mots bien plus que l’enfant peut le faire, et ce dernier qui a pris l’habitude d’avoir besoin de son aide sans jamais oser la demander ; un accord tacite et silencieux, peut-être de la vraie gentillesse quelque part, le bouclé qui en voit partout au point de ne jamais savoir ce qu’il en est vraiment, ou tout simplement l’attente éloquente d’une rétribution qui viendrait tout de même même s’il ne faisait rien, parce que c’est le but de sa mission. « Kaz », il dit tout bas comme une salutation que le nouveau venu n’écoutera pas, le débat lancé entre les apparents humains, avant de justifier « c’est Ben-Ashraf, pas Ben-Bouffon », le ton vexé et l’accent bien mis, le malentendant qui a déjà bien assez de mal avec une langue orale pour en apprendre une autre, mais les phonèmes qu’il maîtrise pour les avoir entendu des dizaines de milliers de fois dans son immeuble, et la rhétorique pinçante qui ne se fait pas attendre. « Ok Al-Chichi », sourire goguenard, jusqu’à ce que le deus ex machina semble trouver le point faible de la brute. Une histoire de fille, apparemment, lui qui ne cherche pas à creuser plus loin parce qu’il a très bien compris qu’on le prendrait encore pour un idiot s’il ne faisait pas toujours mine de comprendre, mais dont la plupart des échanges houleux ont des bases qui lui échappent, suffisamment efficace pour inviter l'autre à disparaître dans le même temps. Balthazar qui aimerait bien apprendre son secret.  

Kaz qui se tient définitivement bizarrement, mais le sorcier ne cherche plus à comprendre la plupart des gestes des personnes qu’il est censé protéger, malgré l’envie qu’ils soient plus semblables et les promesses auprès de ses proches restés sur le continent le grand écart entre les coutumes et les manières, si bien que la plupart des échanges se soldent en échecs, lui qui ne se décourage pas malgré tout. « Je t’ai déjà dit, je connais plus les chats, il aurait fallu que je grandisse avec un lion pour pouvoir réussir à le convaincre de venir sur Staten Island sans le forcer, et j’étais à Manhattan, donc je n’en ai jamais vu sauf avec Shreya sur Brooklyn quelques demi-journées. » Les explications trop pédagogues qui cachent momentanément la souffrance de son interlocuteur, et lui qui la réalise, coupant court à sa parole difficilement articulée, trop laborieuse et aux intonations parfois aléatoires quand il veut s’exprimer trop vite, les cordes vocales qui se tordent sans qu’il en ait toujours toute la conscience, malgré l’attention au détail propre aux membres du coven à laquelle il n’échappe pas. « Oh non ! », les mots qui sortent de ses lèvres entrouvertes dans un son incrédule, le plus jeune qui se dépêche à atteindre le dos endolori, pour en découvrir le triste spectacle. « Comment tu as pu faire ça ? Je ne sais pas du tout combien elle est rentrée, sérieusement ! », et qui reprend, le son de son patient un brouhaha qu’il ne distingue pas des autres bruits, lui qui n’aura qu’à faire un geste de la main s’il faut s’exprimer de façon plus clair, et le chiite qui se contentera des frémissements de sa peau tordue sous la douleur vaillamment masquée pour l’aiguiller dans les soins à prodiguer. « Surtout ne bouge pas, ne tente pas de t’asseoir ni rien, tu risquerais d’aggraver la blessure. Évite de tousser aussi, des trucs dans le genre. » Le sorcier qui réussit à poser un pied sur la bâtisse en voie de se rompre totalement pour lui donner un peu de hauteur, puisque son corps a oublié de grandir, qui cale son sac entre ses pieds, et des ciseaux entre ses dents, le temps de trouver quoi faire avec ses mains. « Je vais devoir découper le t-shirt là où tu es tombé, du coup, désolé », il indique, pas sûr que Kazeem puisse en trouver si facilement, le Printemps qui nourrit tout de même l’espoir que son maître le traite correctement, tout en osant jamais poser de questions en la matière, le douloureux souvenir de Sylens en la matière, alors qu’il pince le tissu pour faire un large trou tout autour. « Tu as eu des piqûres contre le tétanos, Kaz ? »,  le brun qui le sait orphelin mais qui espère qu’il n’a pas trop craint les mystérieuses injections des secouristes en vert, alors que la plupart des parents refusent qu’on propose de soigner une progéniture en pleine santé, jusqu’à la prochaine épidémie qui ne fera que gagner progressivement en gravité, tout en continuant de s’affairer, le doigt pressé contre la peau mâte et boursoufflée. « Ça a l’air assez bien enfoncé, quand même… Tu penses que tu peux te déplacer ? Qu’on puisse trouver un endroit où tu peux t’allonger ? Parce je ne peux pas retirer un truc comme ça si ton muscle n’est pas détendu, et je ne peux pas savoir si tu vas saigner beaucoup comme ça. » Les mains qui se lèvent tout doucement de la blessure, le sorcier qui redescend du piédestal improvisé qui lui aura fait gagner dix centimètres à tout casser, et qui se positionne à nouveau devant lui, prêt à l’écouter. « Pourquoi tu vas te promener sur les toits des immeubles qui sont déjà tout cassés, aussi », et probablement la même réponse à apporter que la sienne quand l’éternel fugueur peut lui demander ce qu’il continue de faire seul dans des zones où il se sait en danger.
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MessageSujetRe: Houston, we have a problem - ft. Balthazar.      #☾.      posté le Sam 13 Avr - 1:09
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09 february
afternoon
Il est ronchon quand il a mal, c’est pas sa faute, c’est juste que le monde tourne pas rond. Ouais okay on s’en fout des rimes, le temps y est pas, c’est pas possible. Mais il est bien content que de voir que les deux zigotos laissent le p’tit en paix assez rapidement. Il continue d’être joueur, Kaz, le temps d’un moment, prétendant de chercher du regard le félin qu’il aimerait grave voir en compagnie de Balt un de ces jours. « Je t’ai déjà dit, je connais plus les chats… » et voilà qu’il continue à causer pendant franchement trop longtemps. Il parle de truc qu’il comprend pas vraiment, peut-être en raison de la distance qui les sépare, surement en raison du putain de bout de métal qui continue de lui péter les burnes. Heureusement, le petit de la nature est rapide, et s’il était pas aussi peureux et maigrichon, c’est presque s’il lui aurait offert une place dans son groupe d’éclaireurs. « Oh non ! » Avachis dans une position franchement pas naturelle, le rebelle se contente d’un tada silencieux, alors que chaque seconde qui passe ne sert qu’a le rendre de plus en plus sobre. « Comment tu as pu faire ça ? Je ne sais pas du tout combien elle est rentrée, sérieusement ! » « Que de bonnes questions mon gars. L’histoire courte c’est que je me suis vautré comme une merde et que ce bouffon d’Herbert a besoin d’un putain de spring clean. » Il essaie de se révéler, de s’arranger dans une position qui s’assure qu’il fait face à Balthazar. Mais il ne parvient qu’a s’arraché un grognement douloureux et s’écrouler un peu plus sur le bordel qui l’entoure. « Surtout ne bouge pas, ne tente pas de t’asseoir ni rien, tu risquerais d’aggraver la blessure. » Il lui offre un regard fatigué en mode t’aurai pas pu me dire ça avant t’abuse. Phrase qu’il essaie de balancer aussi mais un chatouillement dans le fond de sa gorge l’en empêche. « Évite de tousser aussi, des trucs dans le genre. » Un regard terrifié s’affiche sur son visage alors qu’il fait tout ce qu’il peut pour retenir la toux qui s’est réveillée en lui. Sauf qu’il fail comme d’hab, tousse un bon coup, et manque d’en chialer de douleur. C’est pas facile tous les jours.

« Je vais devoir découper le t-shirt là où tu es tombé, du coup, désolé » « Aw mec… » C’est pas qu’il a rien à se foutre sur le cul, Kaz, il sait clairement que s’il a besoin de quoi que ce soit, il peut prendre ceux de Mazen et basta. Mais c’est que ce t-shirt, c’est un que Blue a trouvé pour lui. « Fais pas trop de dégâts steuplé, » qu’il balance en fermant les yeux comme si rien que l’idée de voir le tissu se faire découper lui ferait aussi mal que ce qui continue de le faire saigner. « Tu as eu des piqûres contre le tétanos, Kaz ? » Il ouvre un œil, fermant l’autre avec plus d’intensité dans une expression franchement ridicule. « Tétanos ? J’sais pas mec j’perds le compte moi. Mais j’crois que mon boss checke ce genre de merde. » Mazen lui a toujours filé de bons soins, et s’est assuré de le piquer avec le plus grand plaisir vu qu’il a plus peur de ces putains d’aiguilles que de se faire buter par l’Automne. « Disons que ouais, et puis si je crève tant pis, j’aurais bien vécu, » qu’il balance dans un rire qui, bien sûr, se transforme en une toux qui elle-même devient un nouveau gémissement de douleur. « Tu penses que tu peux te déplacer ? » Il grimace avant même que Balt ne finisse ses questions. Dans un soupire, il se résout. Utilisant les débris qui l’entourent et le corps du sorcier quand ça devient nécessaire, il finit par se retrouver sur pieds. Son dos est cambré, son épaule comme abattue, tandis que son bras se contente d’être sans vie, le sang gouttant du bout de ses doigts. « J’peux bouger, mais je sais pas si je peux descendre. Mes bras sont out of order. » Comme s’il doute de son propre génie, il essaie de bouger son membre meurtris, poussant la douleur à pulser au travers de tout son corps. « Pourquoi tu vas te promener sur les toits des immeubles qui sont déjà tout cassés, aussi. » La réponse claque. Le ton est dur. « J’aurais pas à le faire si la Spring avait pas arrêter de nous aider à les réparer. »

Il reconnait son erreur rapidement. « Déso, je… » Il soupire. « La douleur aide pas, c’pas de ta faute, ignore-moi. » Depuis cet échange avec Mazen qui a manqué de lui faire perdre la vie, il essaie de séparer les sorciers et leur coven. Mais c’est pas facile tous les jours, vu que tout le monde continue de faire de la merde. « Merci d’être venu m’aider, Balt. » Il s’approche de lui, lui offre un sourire joueur. « J’crois que si on arrive à atterrir sur le toit de la vielle qui vit pas loin, elle a des escaliers pour descendre. » Sa main opérationnelle montre le chemin et, déjà, il fait un signe au Printemps de le suivre. Il est lent, Kaz, si lent. Chaque surface qui n’est pas plate le ralentissant encore plus. Alors qu’il vient de manquer de se vautrer de nouveau, il finit par se retourner vers le sorcier. « Dis donc, pourquoi tu continues de te trimbaler dans les coins pas réput, toi ? Je croyais t’avoir dit déjà, reste proche du port, les gens sont sympas là-bas au moins. »
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