Ethereal in the heartwood ☾ (cendre)

surname  brontë, ruisselant d'idylliques palabres. truculent lyrisme qui le pare, doucereusement exsudé de tes pores. un édulcoré qui s'ornemente d'un fébrile ésotérisme, affriolant les esprits.  
first names cendre, vestiges de ces crépitants brasiers, ardentes flammèches qui dévastent de leur fiel, se repaissent des carnes et des matières de leur flamboyante pétulance. apollinaire et ses palabres suintantes de ce truculent lyrisme. douceurs criardes d'une émotionnelle sensibilité, détonnant silencieusement à travers le lacté des pages engorgeant les ouvrages.  
birth certificate 20 années qui se pavanent le long de ta carne, se repaissant avidement de ta pulpe, l'étiolant incessamment tandis qu'elle déambule parmi les décombres d'une guerre d'antan. vestigiales acrimonies constellant les tréfonds de staten island
heart rate le palpitant écroué de ses fantasmagories, balbutiant entre les carnes des enfants du carnage, flamboyant de passion tantôt envers cette existence crépitante d'une créative insanité, tantôt envers cet être opulent de chevaleresques attentions à ton égard, ses paumes qui s'étaient ferventement échouées sur tes épaules t'ayant autrefois extirpé de la funeste étreinte d'un trépas imminent.
occupation diseur de bonnes aventures dont les dires ruissellent candidement d'entre tes lippes. ta prescience de l'avenir qui leur jaillit au faciès, les bienheureux futurs lénifiant ton existence qui s'effrite de ceux ternis de mauvais présages. et ils s'ornementent de ces illusions expiées de l'éclatante pureté diamantine lovée au creux de tes omoplates. gemme se galvanisant d'exsuder les vérités les plus scintillantes de bonheur. perimeter bas-fonds du staten island metropolitan, parmi les innombrables stations, tes esquisses voguant à travers les embouchures, les genoux gravés d'écorchures.

temper trap éthéré ✡ onirique ✡ inconscient du danger ✡ persuadé d'être immortel ✡ lyrique du bout des phalanges. poète qui macule le papier de la splendeur de ses rimes ✡ affectueux ✡ conteur de péripéties ✡ petit ange déchu qui désire décrocher la lune et les étoiles ✡ ésotérique ✡ vit dans les songes ✡ pureté qui semble se ternir de frêles désirs d'auto-destruction, la curiosité de la mort et du danger qui gangrènent ✡ généreux ✡ utopiste ✡ bienveillant ✡
random facts diamantin ornement, éclatant diamant dont la pétulance caresse incessamment ton corium. ornement ferventement lové au creux de tes omoplates, sertissant ta pulpe accoutumée à la dureté de ses flancs. décoration qui ne flamboie que lorsque ses pouvoirs détonnent à travers les airs, modulés au gré de ton doucereux esprit. au bord de l'abysse, il y avait ces plumeux batifolages au creux des cieux, exsudés de ces volatiles les parsemant. une liberté qui affriola ton opulente curiosité, ton myocarde pulsant presque à l'agonie au sein de son édifice osseux lorsque tes arabesques culminèrent le sommet d'une murale paroi, la pointe de tes pieds caressant innocemment le vide, tes iris enlisés au fin fond de leurs cendrés abîmes. et ta silhouette tangua, désireuse de s'engouffrer au coeur d'une chute libre, ton esprit persuadé que tu t'envolerais à ton tour. âpreté d'un suicide inconscient qui fut craquelé de mille et un épars des salvateurs élans de chaz, un de ces quelques enfants du carnage embrassant quotidiennement tes côtés. ses paumes s'échouèrent vivement sur tes épaules, les écrouant de la crépitante passion de sa poigne pour t'écrouer contre la musculature tressant son tronc, ses bras aliénant férocement ta carne qui faillit s'éclipser à jamais. cicatrices indélébiles acrimonies qui constellent ton épiderme. disgracieux ornements insufflés de ton inconscience du danger et de ta curiosité maladive des malsains attraits de van pour les expériences ruinant les pulpeuses esquisses, ses sutures à l'envers cruellement arrimées à ton corium, ton cruor ayant maintes fois flagellé le bout des corrosives phalanges du docteur épris de folie de ses rutilantes éclaboussures. éternelle idylle une idylle interminable qui vous étreint pourtant tous les deux, bien différente de celle t'aliénant à chaz. effusifs sentiments à leur égard qui te submergent, leur maladresse à ton encontre toujours pardonnée et les méfaits pourtant aveuglants de dangerosité de van incessamment éclipsés de ta pellicule mémorielle, la rancoeur incapable de cautériser ton palpitant de sa perfidie, ta curiosité insatiable s'entichant jusqu'à la fin des temps de leur nature, trop curieux de l'âpreté de la saveur des dangers et du sibyllin de la mort. marmoréenne existence qui t'érige, s'essoufflant inconsciemment au gré des minutes ruinées, de ces innombrables maux balafrant cette planète étiolée d'injustices. apnée aptitude physique au creux de laquelle tu sembles rayonner, tes esquisses ondulant trop souvent à travers les flots portuaires, emportées au gré des courants, désireuses de s'échouer en d'autres contrées inexplorées. d'utopiques désirs qui ne seraient jamais assouvis. lyriques vers doucereuses palabres flamboyantes de douceur et de romantisme rêveur immortalisées le long du lacté des pages de ton carnet épuisé d'obsolescence, ses angulaires courbures exhibant de souffreteuses cornures. attrape-rêves petit diseur de bonnes aventures que tu es, balafré des nombreuses visites insufflées d'horrifiques cauchemars que les esseulés tentent d'éclipser de leur quotidien à travers les contemplations de tes illusoires et criardes aurores boréales exceptionnellement miniaturisées pour leur bien-être. ésotérique thérapie étalée sur une trentaine de minutes qui apaise les tourments ébouillantant leur âme. magique placebo que tu exhibes généreusement pour délivrer les existences de leurs peines. polyamour ton palpitant qui s'égare d'innombrables fois, incapable de s'écrouer d'une seule existence, pulsant à l'agonie envers divers êtres, la véritable passion dénuée d'entraves à ton esprit. cobaye tes esquisses abandonnées aux corrosives paumes du docteur van, ton épiderme estropié d'incisions, l'ichor ruisselant le long des rutilants fossés s'entrouvrant le long de ta pulpe malmenée.
theme song  lost memories