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 When the rain's falling down, down –Silk–

whatever happens, we are deathless
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MessageSujetWhen the rain's falling down, down –Silk–      #☾.      posté le Lun 11 Mar - 15:03
Elon J. Jóhannsson
you got two black eyes
Elon J. Jóhannsson
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timelapse : 39 ans
heart rate : Célibataire ton âme incomplète est incapable d'aimer, du moins est-ce que ton esprit te dicte. Finir la nuit dans les bras d'un homme, entre les courbes d'une femme, cela n'engage à rien, cela permet d'exister mais cela n'offre rien à ton coeur malade.
purpose : Tu es mercenaire à la solde de celui qui aura les sous. Homme à tout faire, tu es spécialisé dans la traque et le passage à tabac, voir l'élimination de tes cibles le cas échéant. Tu n'as rien d'un homme à envier, ton intelligence bafouée par le besoin de violence des âmes Newyorkaises.
magic scale : Tu es un Red Thieves. Si certains contrôle la pierre, ce n'est pas ton cas. Pierre ultra puissante et tout aussi instable tu n'as aucun niveau si ce n'est celui de survivre.
gemstone : Tu as été choisis par la tourmaline sombre, pierre d'électricité et de tonnerre. Tu te persuades de n'avoir jamais cherché à la trouvé alors qu'elle te parle, t'appelle. Tu l'as saisis un jour où ta vie était en jeu et tu es depuis lors relié à elle. Violence et mort sont la signature immédiate de son utilisation, incapable de la gérer elle explose en un ouragan d'éclair, détruisant tout sur son passage avant que l'on ne puisse réagir, vidant son hôte de sa force et de son énergie, brûlant ton corps de milliers de vaisseaux semblables à la foudre.
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RED THIEVES
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WE BEND AND WE BREAK
BUT THE BATTLE'S NOT OVER
'TIL THE DAWN OF THE DAY

♚♕♚

Le feu s'est propagé rapidement dans la maison que tu as quitté au plus vite, attirant avec lui tout les habitants du quartier déjà en ruine, ce soir tu auras certainement mit plus d'une personne dans les problèmes mais tu aura sauvé ta peau. Peut-être l'usurpateur pensera-t-il que tu es mort dans cet incendie, quoique tu n'en doute. Il aurait pu te tuer, te laisser là... Tu ne comprenais pas ce jeu de manipulation mentale ni ce qu'il se passait ce soir, ç'aurait du être une mission comme les autres, tu aurais tabassé ce mec pour ensuite rentrer chez toi, prendre une douche chaude et oublier tout ça. Tu n'aurais alors plus eu qu'à attendre la prime et tout aurait été terminé. Mais il avait fallu que cet homme ai un chien de garde aussi bien armé que toi, du bout des doigts jusqu'au même regard et tu n'arrivais pas à mettre son image de côté...

La jambe te lance à chaque pas, tu manques plus d'une fois de te retrouver le nez par terre, devant alors te raccrocher aux fragiles bâtiments de Staten Island, le chemin pour rentrer te parais terriblement long alors que tu ne cesses de regarder autour de toi dans l'espoir de ne pas trouver le moindre espion coller à toi comme un chien de sang. Qui sait qui pourrait avoir été lancé à tes trousses... Pourtant il ne s'agissait là que d'un porc couchant avec des filles certainement bien plus jeunes que toi, il n'avait rien d'un riche ni d'un sorcier de renom sans quoi aurait-il répliquer avec autre chose qu'un visage trop bien connu au lieu de se laisser rouler dans la poussière de la sorte.
Tout s'embrouille alors que les mètres diminues pour que tu retournes te cacher dans tes appartements de fortune... Tu ne pourras plus y rester longtemps il faudra trouver un autre hotel acceptant tes grosses coupures, un endroit plus sûr. Tu te dois de faire un pause en chemin, attrapant une cigarette alors que tu t'assieds enfin, tirant sur le bâtonnet de cancer comme un drogué en manque, inspirant nicotine et goudron avec envie, tu espères sentir la douleur diminuer mais il n'en est rien, la balle logée au creux de ta jambe est mille fois plus présente que la moindre bouffé de cigarette que tu puisses prendre. Tu te remets en chemine n serrant les dents, chien blessé au milieu de la rue, certains regards se tournent vers toi mais ici il n'est pas rare de croiser quelqu'un qui aurait eut à en découdre avec quelqu'un qu'il se serait mis à dos alors on détourne les yeux, on imagine qu'on a rien vue et on passe à autre chose...

Enfin tu reconnais l'immonde bâtisse qui te sers de lieu de vie et aujourd'hui elle semble providentielle pourtant ta joie est de courte durée quand tu remarques que ton étage est allumé... Tu avais pourtant laissé Io dans le noir en partant... Tu jures, attrapant ton arme sous le trench coat alors que tu entres dans les lieux, camouflant ton état pour ne pas éveiller les soupçons -quoique les gouttes de sang dans tes pas soient une preuve sans précédent- ; Tu avances à pas feutrés, montant les marches non sans renâcler de douleur.
Là, sous la porte, la lumière orangée claire comme si tu y étais. Merde. Pourvu que Io n'ait rien... Tu appuis doucement sur la poignée, ouverte, elle n'émet aucune résistance alors que tu pénètres dans les lieux refermant derrière toi sans le moindre bruit. À l'intérieur par contre tu entends des pas non dissimulés, l'enflure doit en plus penser que tu ne rentreras pas chez toi, qu'il pourra fouiller aussi longtemps qu'il le souhaite, tu raffermis ta prise sur l'arme tremblante entre tes mains. Ta vision semble floue à cause de la douleur mais aussi du sang perdu, c'est pas le moment de perdre connaissance... Pas aujourd'hui. La pierre frappe contre ta poitrine, secret bien gardé, mais sa voix ne hurle plus. Vous êtes ici chez toi, le main coon est tout ce que tu as et la pierre sait que le détruire te tuerais sans doute plus vite que son pouvoir...

 « Les mains en l'air! » Tu débarques dans la cuisine, arme pointée sur la nuque de l'usurpateur, regard violent d'un prédateur prêt à fondre sur sa proie, doigt sur la gâchette avant de se rendre compte de son erreur. Les cheveux bruns, l'air innocent et les grands yeux clairs... Il n'y avait en face de toi rien du sorcier qui avait prit ton image, rien d'un sorcier tout court, ce gamin n'avait aucune chance contre une balle entre les deux yeux ni même un simple coup de poing...  «  Merde... »
Tu abaisses ton arme, te rendant compte de l'horreur de la situation en refusant de regarder Lazuli en face... Tu deviens un monstre Elon et ce depuis que tu portes ce fardeau autour du cou. Tu fais volte face, laissant derrière toi la tâche de sang significative sur le sol, sans un mot de plus ni une excuse. Il n'était pas prévu dans l'équation. Tu fuis pour rejoindre la salle de bain avant que l'on ne te pose trop de questions pourtant tu titubes plus que de raison, renversant le contenu d'une étagère sur le chemin en pestant.
Il ya. trop e secrets cachés sous ces vêtements pour que Lazuli ne puisse les voir, seulement seul, tu n'y arriveras jamais. Il serait peut-être temps d'accepter de l'aide... Lazuli n'est pas ton ennemi, les amis ne se pointent pas une arme au milieu du front. Tu es un chien de la pire espèce Elon.


ft. @Silk Duncan
Song : Exhale
28 Février
Staten Island
Temps pluvieux ; 9 degrés
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MessageSujetRe: When the rain's falling down, down –Silk–      #☾.      posté le Ven 29 Mar - 18:50
Silk Duncan
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Silk Duncan
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heart rate : célibataire, et il ne voit pas ce statut changer de si-tôt.
purpose : voleur, à son compte ou pour les autres; dirige un refuge animalier à Rockaway Bay.
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powerplay : télépathie et empathie animale, Silk communique particulièrement avec les chiens.
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“WHEN THE RAIN'S FALLING DOWN, DOWN” — L'île des humains reste fidèle à elle-même, toujours. Silk s'y rend de moins en moins souvent, mais à chaque fois, il a l'impression d'être projeté dans le passé. De revenir à une époque où il y vivait encore, où son monde se résumait simplement aux limites de Staten Island. Il faut dire que rien n'a changé, ou presque. Certains bâtiments se sont effondrés, et pour d'autres on se demande comment ça se fait qu'ils tiennent encore debout. Les bâtiments rénovés doivent se compter sur les doigts d'une main. Et à chaque fois qu'il s'y rend, il se rappelle pourquoi sa dernière visite remonte à si longtemps. Il voit désormais, avec des yeux adultes, que l'endroit dans lequel il a grandi n'est qu'une prison, un endroit où on les parquent pour qu'ils ne fassent pas trop de bruit, pour qu'on ne puisse pas les voir. Silk connaît pas mal de sorciers qui ne sont pas totalement anti-humains, mais qui sont bien contents de ne pas voir la misère dans laquelle ils vivent. S'ils ferment les yeux sur les problèmes qu'ils rencontrent, ils ne peuvent pas se sentir coupable. Il voit des gens au visage froid, fermé, jetant des coups d’œil inquiets par-dessus leur épaule. La confiance est un luxe que beaucoup ne se permettent pas, ici. Silk voyait bien que quelque chose n'allait pas, lorsqu'il était petit. Il ne connaissait rien d'autres, mais il se souvient de cette phrase, qui tournait en boucle dans son esprit : ce n'est pas juste. Il se demandait pourquoi les adultes ne faisaient rien. Il pensait déjà avoir toutes les réponses, et ça semblait si simple. Son optimiste était une façon de se protéger, en quelques sortes. C'est dur de grandir si l'on pense que l'on a aucun avenir. Il en sait quelque chose ; une fois qu'il a perdu cet optimiste, tout lui semblait gris et terne. Il se souvient de son adolescence, de la colère qui semblait l'habiter sans arrêt, contre tout et tout le monde. La colère était encore une bonne chose, ça prouvait qu'il se souciait des problèmes de cette société basée sur le mépris des gens sans pouvoirs. Une fois que la colère n'est plus là, il ne reste qu'un sentiment d'impuissance, de vide.

Il est toujours mélancolique lorsqu'il arpente ses rues. Il croise le regard de gamins agités, et il ne peut pas s'empêcher de se voir en eux, avec un pincement au cœur. C'est en observant l'un de ses groupes d'enfants qu'il se rappelle qu'il n'est pas loin de la maison d'Elon. Il ne se souvient pas de comment ils se sont rencontrés exactement, il était bien trop jeune. À cet âge où il se croyait invincible simplement parce qu'il ne comprenait pas vraiment comment ça fonctionnait, la vie, il était tombé sur Elon, alors que celui-ci était un adolescent âgé de dix ans de plus que lui. Il devait avoir six ou sept ans, et échappait régulièrement à la surveillance de sa mère à cet âge. C'est aussi l'époque où il a commencé à apprendre à chaparder, souvent pour des enfants plus âgés que lui. Des sortes de microcosmes enfantins se formaient déjà, comme pour s'entraîner à leur vie future. Et il est tombé sur Elon, et Silk a décidé de s'accrocher à lui. Il le considérait comme une sorte de grand frère, il essayait toujours d'attirer son attention, souvent en essayant de l'emmerder le plus possible. Lorsqu'il a du quitter l'île, c'est peut-être la présence d'Elon qui lui a le plus manqué. Il était l'un de ses repères, comme sa mère l'avait été. Il n'avait même pas pu le prévenir, et qu'est-ce qu'il lui aurait dit de toute façon ? Il n'aurait pas pu lui dire qu'il était en réalité un sorcier. Il l'aurait perdu à tout jamais, c'est sûr.

Au final, ils ont réussi à se retrouver. Aucun n'a posé trop de questions, ils avaient tellement changés de toute façon. Il ne le voit pas souvent, mais il essaye toujours de revenir voir s'il est dans les parages lorsqu'il passe dans le coin. De la nostalgie peut-être, une envie de retourner à ces moments où tout était si simple.
Il arrive à son immeuble, aussi délabré que le reste de la rue, et se retrouve face à la porte de son appartement. Il tape quelques coups, mais il se doute qu'Elon n'est pas présent, il n'a remarqué aucune lumière aux fenêtres. Ça lui prend quelques minutes, mais il réussit à crocheter la serrure, faisant bien attention à ne pas l'abîmer. Pas question d'utiliser la magie ici, ça serait beaucoup trop dangereux et il ne tient pas à signer son arrêt de mort. Il sait qu'il ne lui en tiendra pas rigueur, ce n'est pas la première fois qu'il le retrouvera assis dans son canapé en revenant. Il allume les lumières et est accueilli par son chat, qui trottine vers lui, avant de se frotter contre ses jambes. Elon lui a quelques fois demander de nourrir sa bestiole, lorsqu'il n'était pas là, et c'est presque sans réfléchir qu'il va vérifier si le chat a à manger. Si Silk communique beaucoup plus facilement avec les chiens, qui peuvent parfois lui transmettre des phrases complètes (du moins ceux qu'il connaît le mieux), c'est un peu plus compliqué avec les chats. Ils peuvent lui transmettre une émotion, une envie, qu'il comprendra sans problème, mais rien de trop sophistiqué. Leur mode de pensée est bien différent de celui des chiens, sans qu'il ne saurait trop expliquer les différences entre chaque. Mais en tout cas, celui-là à clairement faim.

Silk est encore dans la cuisine, en train de caresser distraitement le dos du chat, lorsqu'il entend la porte s'ouvrir. Mais au moment où il allait se retourner...  « Les mains en l'air! » Le cri semble arrêter son cœur l'espace de quelques secondes, et il se fige. Il se demande si c'est bien Elon, ou s'il est tombé sur un cambrioleur, mais il reconnaît sa voix, il n'y a aucun doute. Son cerveau s'emballe, comme son cœur que rien ne semble pouvoir arrêter désormais. L'espace d'un instant, il est persuadé qu'Elon a appris, qu'il sait pour ses pouvoirs, pour les mensonges, pour le fait qu'il soit un sorcier, l'un de ceux qu'il doit haïr de tout son cœur, et qu'il veut le faire payer.  «  Merde... » La panique menace toujours de l'envahir et il se risque enfin à jeter un regard en direction d'Elon. Sa main tenant l'arme vient se baisse et Silk ne peut s'empêcher de la fixer. Son doigt sur la gâchette, il lui aurait suffit de bouger son index de quelques centimètres pour lui faire sauter le crâne.

Puis, il relève enfin les yeux sur le visage d'Elon, incapable de dire quoi que ce soit. Son ami donne avoir l'impression de s'être fait rouler dessus par au moins trois camions différents.  Avant qu'il ne puisse poser la moindre question, Elon se retourne, et Silk ne peut que remarquer la trace de sang qu'il traîne derrière lui. Il boîte, titube, rentre dans une étagère, et il faut quelques secondes à Silk pour qu'il réussisse enfin à bouger. Il a l'impression que son corps refuse simplement de lui obéir. « Elon ?! » Appelle-t-il, d'une voix pleine de trop d'émotions à la fois. Peur, inquiétude, incrédulité. Mais non seulement il ne lui répond pas, mais il va s'enfermer dans la salle de bain, lui fermant presque la porte au nez. « Tu m'expliques ce qu'il se passe ? » Demande-t-il, la main sur la poignée de la porte. « Qu'est-ce que tu fous ? » La colère vient se greffer au reste de ses émotions contradictoires, après le choc. Il n'est pas en colère contre lui non, pas spécialement, mais... Il ne sait pas trop, en fait. Il retire la main de la poignée de la porte, et, observant sa main, remarque que sa paume est recouverte du sang d'Elon, lorsqu'il a du poser la main sur la poignée, sûrement. « Elon, ouvre cette porte ! »
 
@Elon J. Jóhannsson ; code by solosands
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